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Blog sur les TIC

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Blog sur les TIC
28 février 2010

Sources .

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22 février 2010

Fin .

 

Conclusion

 

A travers ce sujet nous avons essayé de développer et montrer l’importance des NTIC en étudiant  les domaines sur  lesquels ils exerçaient une influence, tant au niveau de l’individu qu’au niveau des entreprises. Issues d’une technologie récente, l’essor des NTIC a été fulgurant avec des conséquences non négligeables sur le comportement des individus, le dynamisme des économies et des entreprises mais aussi sur le creusement des inégalités au niveau mondial. A ce jour, l’utilisation des ces nouvelles technologies de l’information et de la communication ont séduit bon nombre. On peut s’interroger cependant sur les limites des NTIC. En effet, les impacts sur la vie privée, mais aussi sur l’emploi et les disparités économiques  nous orientent sur une société trop dépendante et donc fragilisée.

Comment trouver le bon équilibre ? 

 

 

20 février 2010

Les NTIC dans l'entreprise

 

Les NTIC dans l'entreprise  

 

Durant ces 20 dernières années, les NTIC ont été intégrées par les entreprises  au fur et à mesure de leur disponibilité. De nos jours, elles sont devenues un outil indispensable dans la création d’entreprises qui se veulent modernes et productives. Cependant leurs utilisations sont limitées et leur accessibilité peut être repoussante. Nous pourrons étudier les avantages des TIC au sein des entreprises. Puis nous nuancerons leurs utilisations en exposant leurs limites.

I. Avantages 

Même si l’on pense d’abord aux relations entre entreprises et consommateurs, c’est à l’intérieur des grandes entreprises que l’Internet joue le rôle le plus important grâce à l’intranet. En 2002, 4 entreprises sur 10 avaient mis en place un réseau intranet et 6% étaient prêtes à passer le pas en 2003. Un réseau intranet est un ensemble de services ayant un rapport avec Internet au sein d’un réseau local. C’est à dire accessible uniquement à partir d’ordinateur d’un réseau local afin de réaliser un système d’information propre à une entreprise. Un tel réseau a pour but de mettre à disposition des employés des documents portants des informations sur l’entreprise, ainsi que des moyens de communications (exemple : Message électronique, forum de discussion, chat en direct, visioconférence). Ainsi,  un intranet favorise la communication au sein de l’entreprise et limite les erreurs dues à la mauvaise circulation d’une information. Afin de protéger son contenu il est généralement nécessaire de définir des droits d’accès pour les utilisateurs de l’intranet. 

Après avoir discuté avec le directeur commercial de la société ECC (Etude Conseil Construction)  situé sur la zone d’activité commercial Curie de Calais. Celui-ci m’informa sur leurs utilisations des TIC au sein de leur réseau commercial. En effet les informations tel que les marges pratiquées et autorisées, le prix de « maisons types » variant celons le prix des matériaux, le nombre de maison vendues ainsi que le commercial pratiquant la vente sont visible au sein d’un réseau intranet visible par tous. Ceci pouvant éveiller l’esprit de challenge dans l’entreprise.06

 L’extranet permet un accès sécurisé aux informations de l’entreprise. Ceci est l’outil leplus utilisé par les entreprises industrielles pour gérer leurs relations avec leurs partenaires. Or il reste peu exploité car seulement 14% des entreprises en étaient équipées dans l’UE des 15 en 2008.

 

Un réseau extranet est une extension du système d’information de l’entreprise à des partenaires situés au-delà du réseau. L’accès à celui-ci doit être très sécurisé car il permet un accès aux informations de l’entreprise à des personnes situées en dehors de l’entreprise. Un extranet n’est donc ni un réseau intranet, ni un site internet. Il s’agit d’un système supplémentaire offrant par exemple aux clients d’une entreprise, ou à ses partenaires, un accès privilégié à certaines informations de l’entreprise par l’intermédiaire d’une interface Web. D’un point de vue plus général les avantages des TIC peuvent être définis à 3 niveaux :

  • ·         au niveau du système d’information : Hausse de la productivité du travail pour la saisie de l'information, donc baisse des coûts. Délocalisation de la production (exemple : centre d’appels), amélioration de l’efficacité de la prise de décision permise par une banque de donnée plus importante sur ses partenaires.

 

  • ·         au niveau de la structure de l’entreprise et de la gestion du personnel : Organisation moins hiérarchisée, partage d’informations. Meilleure gestion des ressources humaines (recrutement, gestion des carrières plus facile), meilleur suivi du personnel comme le Président Directeur Général de la société « Hyper’Embal » de Seclin (du Nord Pas de Calais) m’indiqua.

 

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En effet les commerciaux de la société sont suivis par satellite grâce à la puce intégré dans leur GPS. A tout moment la société peut connaître la place exacte de leurs commerciaux et par conséquent vérifier qu’ils sont bien à leur travail. C'est-à-dire dans un magasin de grande distribution alimentaire. En effet la société « Hyper’Embal » est spécialisée dans la distribution de produits d'emballages pour produits frais à destination de l'industrie alimentaire. Cependant ce procédé n’est qu’une arme de dissuasion, car conformément à la loi les salariés sont avertis de leur suivi. Et désormais un tel suivi peut être également possible grâce à l’apparition des Smartphones.

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  • ·         au niveau commercial : Nouveau circuit de production grâce à l’extension du marché potentiel (commerce électronique). Une baisse des coûts d’approvisionnement. Développement des innovations en matière de services et réponses aux besoins des consommateurs. Amélioration de l’image de marque de l’entreprise (entreprise innovante).

 

 

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Cette courbe nous montre cet engouement des entreprises pour les NTIC qui n’a cessé d’accroitre depuis les années 80, mais dont le réel boum a été dans les années 96/97. En effet entre 1996 et 2000 la part des NTIC dans le stock de capital des Sociétés non financières et des entreprises individuelles à augmenté de presque 2 points soit une augmentation de 125% ! 

II. Les limites. 

 

N’importe qu’elle surveillance via Internet doit être déclarée à la CNIL qui est la Commission Nationale de l’Informatique et des Libertés. L’employeur doit indiquer le but de cette surveillance et la durée de conservation des donnés qui ne doivent pas être excessive. De même, l’employeur ne peut pas sanctionner un salarié sur la base d’un traitement non déclaré. Or les traitements pour lesquels l’employeur a désigné un CIL (un Correspondant Informatique et Liberté) ne sont pas obligés de faire la déclaration. Or le salarié de l’entreprise peut être sous pression et il n’est pas couvert par la protection des représentants du personnel. Dans chaque cas l’employeur doit informer les salariés et les responsables du personnel de la mise en place d’un dispositif de cyber surveillance. 

 

 

 

 

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En effet, même au travail le salarié a le droit au respect de sa vie privée. Tout document informatique ou papier présent sur l’ordinateur ou dans le bureau du salarié sont considérés professionnels sauf s’ils sont clairement identifiés comme personnels. Toutefois ces documents personnels peuvent en présence du salarié être consultés par l’employeur. Or, l’employeur peut interdire l’utilisation des NTIC à des fins personnelles. En cas de non respect, le salarié peut être sanctionné. Cependant, si la jurisprudence définit que l’utilisation est raisonnable elle ne peut pas justifier un licenciement.

 

En 2008, sur 100 personnes interrogées 74 déclarent qu’ils utilisent leur ordinateur de travail pour des tâches personnelles, 15 nient qu’il l’utilise à des fins personnelles et 11 préfèrent ne pas répondre.

 

Cet histogramme nous montre le pourcentage de personnes qui en 2008 déclaraient lors d’un sondage qu’ils envoyaient des emails, qu’ils visionnaient des sites internet, leurs informations bancaire, qu’ils faisaient des achats sur internet, qu’ils écoutaient de la music ou regardaient films et image, qu’ils « chataient » ou qu’ils laissaient des commentaires sur des blogs.

 

La rentabilité des logiciels et des ordinateurs peuvent aussi être un facteur entraînant la crainte d’un tel changement. Les différents problèmes de rentabilité sont :

  • le coût du matériel, du logiciel, de l’entretien et du renouvellement.
  • il est fréquent de voir apparaître un suréquipement par rapport aux besoins et donc une sous-utilisation des logiciels.
  • le coût de la formation du personnel, de sa résistance aux changements.
  • le coût généré par la modification des structures, et par la réorganisation du travail.

 

 

Ainsi l’adaptation, la compréhension et le coût de ces logiciels et techniques peuvent être un frein à l’acceptation des NTIC au sein de l’entreprise. Celles-ci feront au démarrage perdre du temps et donc de la productivité à l’entreprise. Or une fois assimilée elles provoqueront un réel gain de productivité. De même les TIC participent à cet élan écologique au sein des entreprises qui est de nos jours si convoité.

 

18 février 2010

La place des NTIC dans l'économie.

 

Les NTIC  et l’économie

"En 2005 environ, on s'apercevra que l'impact d'Internet sur l'économie est équivalent à celui de la télécopie"

Paul Krugman, décembre 1997

 

 

Les nouvelles technologies de l’information et de la communication occupent une place croissante au sein de notre société. En effet plus ou moins consciemment les NTIC sont omniprésents. Leur influence qui ne fait que croitre s’applique dans plusieurs domaines. Au niveau social, culturel mais aussi et surtout au niveau économique. Elles occupent une place important dans les économies développées. Grâce à différentes applications dans l’organisation du travail elles sont souvent créatrices d’emplois et participent de manière non négligeable à la croissance économique.

Cependant peut-on définir leur place dans cette «  nouvelle » économie ? Quel sera  leur avenir ?

Pour répondre à ces interrogations nous verrons d’abord comment les NTIC contribuent au développement économique avec une nouvelle organisation du travail, puis leurs apports dans l’économie et enfin nous envisagerons les hypothèses d’avenir pour les NTIC.


I . Une nouvelle organisation du travail

 

A. La diversité des domaines d’application des NTIC

Les NTIC sont aujourd’hui partout dans l’économie et ont une présence dans une palette de domaines très polyvalents. En effet elles sont utilisées à plus ou moins grande échelle dans chaque secteur différent. Par exemple le musicien utilise son Myspace pour faire connaître sa musique et l’entreprise utilise internet pour communiquer avec son site internet, vitrine ou marchand.

On peut dire que nombreuses sont les applications qui sont permises grâce aux NTIC car en effet ces technologies permettent de communiquer beaucoup plus facilement mais aussi de transmettre des informations numériquement. Par exemple avec le télémarketing, le télésecretariat, mais aussi l’enseignement à distance (e-learning) ainsi que la vente par internet (VAD, vente à distance) qui permet maintenant de faire ses achats de chez soi.

 

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 Graphique 1 : Part des NTIC dans l’économie en 1998 :

 

On peut constater que les NTIC avaient déjà une place conséquente la fin du siècle dernier.. En effet on voit qu’elles sont très importantes : presque 12% au niveau des importations suivi de près par environs 11% avec les FBCF.

On voit cependant que sa part dans la consommation finale était moins importante avec seulement 2.5%

Graphique 2 : Part des NTIC dans la production totale & la croissance :

 

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 Ce graphique illustre très nettement l’évolution de la part des NTIC dans l’économie de 1996 à 2001. On remarque que les NTIC ont accru leur importance dans la croissance (22 % en 1996 et 26 % en 2001) par rapport à leur place dans la production totale qui est restée en dessous des 10%.

 

B. Des effets conséquents sur la productivité des entreprises.

Au-delà des effets sur le secteur des technologies de l'information, l'effet global sur l'emploi va dépendre de la diffusion des NTIC dans les autres secteurs. C'est là que les NTIC peuvent, le cas suivant, produire des effets négatifs voire destructeurs  compte tenu des gains de productivité susceptibles d'en découler, d'où la nécessité de bien appréhender les mécanismes économiques générés par leur diffusion.

Une simulation des effets économiques liés aux NTIC  montre que si certains secteurs et certains métiers peuvent effectivement être pénalisés  par ces nouvelles technologies, le bilan d'ensemble serait largement positif compte tenu de l’association d’un effet de demande et de deux effets d'offre : gains de productivité et apparition de nouveaux produits et de nouveaux services qui n'auraient pas existé sans ces technologies. Les NTIC contribuent à la croissance et sont créatrices d'emplois (cf. graphique ci dessous). La principale incertitude porte sur l'ampleur de l'impact en matière d'emploi.

Du fait de la numérisation du monde du travail, un nouveau système positif semble se créer et aller vers l’innovation des services et leur industrialisation : grâce à l’innovation on a une utilité grandissante qui stimule la demande et de l’industrialisation on a une innovation due au potentiel offert par les NTIC. Ces deux phénomènes réunis et conjugués créent de l’emploi mais aussi de la richesse.

Graphique 3 : L’emploi dans les TIC et l’emploi global.

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 On peut observer qu’en l’espace de seulement 7 ans l’emploi dans les TIC a augmenté d’une manière non négligeable. En effet alors que en 1991 il était négatif (environ -1%) il est passa à 9 % en 1998 par rapport à l’évolution de l’emploi global qui a peu varié (a seulement évolué d’environs 2 %).

 

II. Les apports des NTIC dans l’économie.

 

Ainsi, l’économie de la connaissance ou encore société de la connaissance, désigne ce qui serait une nouvelle phase de l’histoire économique dans laquelle, selon certains économistes, nous sommes entrés depuis les années 1990. Cette mutation de l’économie serait aussi celle d’un nouveau mode de régulation du capitalisme. Des mutations du même type ont déjà eu lieu à différentes périodes de l’histoire.

Le secteur des NTIC possède une influence majeure sur le reste de l'économie. L'essentiel de la production de ce secteur est utilisé, sous forme de consommations intermédiaires ou d'investissements, par les autres secteurs de l'économie. Les NTIC ne représentent que 2 % de la consommation finale, mais 8 % des consommations intermédiaires et 11 % des investissements en 2000 (cf. graphique n°1)

Selon l’Insee : "L'essor des NTIC est tel, note l'Insee, qu'il exerce incontestablement un effet d'entraînement sur l'économie française " et " se répercute durablement sur la croissance. "

Avec 5.3 % de la valeur de la production nationale, et 2.9 % de la population active, les NTIC ont un poids grandissant dans l'économie française. Elles ont contribué pour 20 % à la croissance de la production de 1995 à 1999. De 1994 à 1998, plus de 100 000 emplois ont été créés dans ce secteur dont la moitié pour la seule année 1998. La diffusion de ces technologies dans le reste de l'économie a des effets indirects. Elle permet dans chaque branche de développer de nouvelles fonctionnalités, d'améliorer les services associés aux produits d'où les effets positifs sur la consommation et plus généralement sur l'activité.

Dès 1997, les technologies de l'information et de la communication représentaient 5 % du PIB français, soit davantage que l'industrie de l'automobile et l'énergie réunies.

L'Insee a publié l'édition 2000-2001 de son recueil annuel sur l'économie française, dans lequel elle consacre un dossier à la diffusion des nouvelles technologies de l'information et de la communication (NTIC) dans l'économie. On en retiendra d'abord leur poids, que l'Insee chiffre à 4,8% de la valeur ajoutée de l'ensemble de l'économie (5% si l'on ajoute au champ des NTIC l'édition, la presse et l'audiovisuel) et à 4,4% du produit intérieur brut. Les filières " Informatique " et " Télécommunications " sont responsables de l'essentiel de cette contribution (2,2 et 1,8% de la valeur ajouté).

 

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En effet, l’accès à l’économie de la connaissance est encore très limité, il existe de grandes disparités entre les pays, les groupes sociaux. On voit apparaitre une fracture numérique. De plus, il y a des inégalités de développement des connaissances d’un secteur à un autre.

La société de la connaissance est un terme utilisé pour désigner un certain type de société où règne une forte diffusion des informations et du savoir. La distinction entre société de l'information et société de la connaissance correspond à la différence entre système d'information et système à base de connaissance. La société de la connaissance reprend en partie la notion de société de l'information, désignant une société dans laquelle se généralisent la diffusion et l’usage d’informations et qui s’appuie sur des technologies de l'information et de la communication (TIC) à bas coûts. De plus, elle met  l'accent, non pas sur les flux d’information et les réseaux qui les supportent, mais sur le savoir, l'expertise, la créativité, l'innovation, la connaissance. La vision est donc plus humaine même si cette société de la connaissance est portée par un développement technique. Enfin, cette société s'intéresse aussi à la création et à la diffusion des connaissances sur le développement économique, par l'intermédiaire de l'intelligence économique dans les entreprises et les territoires.

Ainsi, la « new economy » nécessite-t-elle de nouvelles politiques économiques ?


III. L’avenir des NTIC.


Maintenant une question se pose ; comment vont évoluer et se transformer les NTIC ?  

Pour cela nous avons pris différents domaines afin de se demander l’ampleur du changement possible.

·         L’accès aux informations : est-ce que la presse internet comme ici et ici par exemple va finir par remplacer la presse traditionnelle comme le journal ?

·         L’acquisition des savoirs : les systèmes d’éducation via internet vont-ils révolutionner les écoles ou bien les faire disparaitre ?

·         Les modalités d’achat : la vente par correspondance en ligne (e commerce), la publicité virtuelle et l’essai virtuel des produits vont-il bouleverser le principe de la vente, de l’après-vente ?

 

05L’avenir des TIC pour la croissance économique est indéniable. La révolution de l’information a de nombreux effets sur la vie et le travail des hommes. En effet, l’information devient un outil de développement économique. Véritable levier d’accroissement de la performance, les technologies de l’information et de la communication (TIC) sont aujourd’hui un support incontournable pour le développement des services de santé, du commerce, de l’éducation, de l’agriculture, etc. Mais l’accès aux NTIC est soumis à certaines contraintes comme l’analphabétisme, la faible couverture téléphonique, la méfiance et surtout le manque de moyens financiers. Seulement 1% des internautes viennent d’Afrique dont la moitié d’Afrique du Sud.

La technologie vient alors bouleverser le processus de production : acheter, vendre, produire, distribuer chaque fonction est atteinte. A tout moment un nouveau concurrent peut bouleverser la chaîne de valeur en se positionnant en tant que nouvel intermédiaire. Le client devient le roi. On passe d’un marketing de masse à un marketing personnalisé. La concurrence devient à la fois globale et locale. Chaque entreprise peut s’adresser au monde mais en s’adaptant localement à chaque marché.On peut maintenant partager sa passion avec des passionnés du monde entier et intégrer une communauté.

La nouvelle économie ouvrirait également la voie à une croissance économique infinie puisque les nouvelles activités qu'elle tend à développer et les biens immatériels qu'elle produit, ne sont pas soumis à des phénomènes de saturation du marché comme peuvent en connaître par exemple le secteur de l'automobile ou de l'électroménager. Il paraît vraisemblablement impossible que les informations et les productions intellectuelles soient soumises dans l'absolu aux moindres contingences. A ce titre, il avait été prévu que le chiffre d'affaires de la nouvelle économie aux USA pourrait passer de 524 milliards de dollars en 1999 à 850 milliards à la fin de l'année 2000 soit un taux de croissance de 62% déjà observé entre 1998 et 1999.

 

Pouvons-nous cependant dire que L’avenir de l’économie est numérique? Sommes-nous prêt à cette révolution qui est déjà en marche ?  

 

Les NTIC  sont partout. En effet, en 10 ans de temps elles ont connu un essor très rapide et extrêmement important ; Actives dans notre économie, elles  permettent d’aider la croissance. Cependant, allons-nous devoir créer de nouvelles politiques économiques ? Quelles en seront les conséquences au niveau mondial ? Les NTIC vont-elles gommer les inégalités ou les creuser ?  Réponse dans quelques années ! 

 

16 février 2010

L'influence des NTIC au niveau social

 

L'influence des NTIC au niveau social

 

  

Les enjeux sociaux s’associent pour l’essentiel, aux biens indispensables aux hommes, que certains ne possèdent pas, ce qui est injuste. L’accès a l’eau, la nourriture, à un logement ou encore à l’école sont des choses que certaines personnes plus démunies n’ont pas. Les nouvelles technologies de l’information et de la communication (NTIC) ne s’associent pas en priorité aux enjeux sociaux car il existe des besoins plus existentiels à satisfaire. 

Quand nous voyons des ados, comme nous, qui s’appellent alors qu’ils sont à cinquante mètres à peine l’un de l’autre nous pouvons retourner le problème dans tout les sens et nous demander où sont les enjeux sociaux derrière autant de futilité ?

Pour commencer nous étudierons l’évolution des comportements et habitudes puis en second lieu les facteurs d’inégalités sociales.

I. Evolution des comportements et habitudes  

 Les NTIC participent pleinement d’une part à la société de loisir et d’autre part sont un beau facteur de la société de consommation 


A. L'impact des NTIC sur la société de loisir. 

Ces nouvelles technologies, nous les envisageons d’abord sous leurs aspects les plus ludiques. C’est une technologie qui nous permet de communiquer avec nos amis, d’échanger des photos, voir des films ou écouter de la musique. Comme internet qui nous permet de nous exprimer (Facebook) apprendre des choses (Wikipedia) ou découvrir de nombreuses choses de manières différentes. De nombreux forums existent sur lesquels ont peut donner notre avis sur de divers sujets comme sur Doctissimo. Il existe aussi les blogs qui sont aussi un moyen pour s’exprimer et communiquer et qui sont très répandus. On en compte a peu prés trente millions.

 

A mi chemin entre le blog et le forum, une nouvelle référence est apparue : Facebook ! Ce nouveau était conçu au départ pour retrouver ses amis de promos d’études mais ce site a trouvé d’autres finalités. Maintenant c’est un incontournable pour tous (surtout les adolescents) et est victime de son succès. Apres s’être inscrit sur ce site vous pouvez visualiser les pages des membres et devenir ami avec tout le monde et donc savoir tout sur tout le monde. Chacun peut y mettre ses histoires personnelles, celle de ses amis, n’importe quelle photo. Ce qui était censé être  un outil ludique est devenu un cauchemar pour certains car toutes les informations tombent dans le domaine public et sont accessibles aussi aux Responsables des ressources Humaines… avec les conséquences possibles en terme d’emploi.

 

utilisateurs

 

Il existe aussi des sites de rencontres ou encore des boites de messageries instantanées comme MSN ou encore Skype qui sont très utilisés. 

Mais les nouvelles technologies de l’information et de la communication ne se résument pas qu’à internet.  

 Les téléphones portables permettent aussi de s’exprimer de beaucoup de manières différentes. Il est possible de téléphoner, envoyer des messages texte accompagnés d’une photo, d’une musique mais aussi surfer sur internet ou encore avoir un GPS comme sur certains téléphones qui font pratiquement tout, comme l’iPhone qui a pour slogan : « il y a une application pour tout ». 

 Internet et les téléphones portables sont des nouvelles technologies de l’information et de la communication qui évoluent et deviennent de vrais outils de compétition.

 

 

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L’iPhone d’Apple

 

Voici une vidéo, publicité pour cet iPhone : http://www.youtube.com/watch?v=XoPZnz9vxwk 

Cette fois-ci une vidéo présentant rapidement le phénomène planétaire Facebook: http://www.youtube.com/watch?v=CMJUZRobPxM (extrait de Envoyé Spécial, sur France 2)

Voici aussi un montage caricaturant les adolescents de nos jours, " génération virtuelle " : http://www.youtube.com/watch?v=X7j_heWUg2c   (Réalisation personnelle)

 

B. Les NTIC : ce qu'il y a de plus remarquable dans la société de consommation. 

 

 Les relookings et les nouvelles inventions de produits constituent ce qu’il y a de plus remarquable dans la société de consommation en matière de nouvelles technologies de l’information et de la communication et qui visent surtout les adolescents. 

L’adolescence constitue une période de la vie où une personne se cherche, où ses choix se définissent. Les vendeurs l’ont compris. A partir de 14-15 ans l’adolescent commence à avoir de l’argent de poche ce qui signifie qu’il devient plus autonome et qu’il possède un pouvoir d’achat plus ou moins élevé. C’est un prescripteur. Désormais Les industriels peuvent agir sur leur consommation mais aussi sur celle de leur milieu familial.  

Une certaine pression commerciale est exercée sur les adolescents. Tout est fait pour qu’ils achètent, consomment en masse, renouvellent leurs achats. Cette pression, exercée à l’encontre des adolescents, se répercute fortement sur la consommation des NTIC des ménages. En 2005, la consommation des NTIC des ménages représentait 4,2 % des dépenses des ménages contre 1,3 % en 1960. Ces chiffres nous montrent bien l’importance des NTIC de nos jours, la place que les ménages lui accordent dans son budget.  

 

C. Facteurs de progrès sociaux.  

Les NTIC sont un phénomène qui touche plus particulièrement les jeunes et font partie intégrante de leur  vie.

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Les nouvelles technologies de l’information et de la communication ont révolutionné le monde. Internet est beaucoup plus révolutionnaire que la machine à écrire de l’ancien temps .Le téléphone portable, lui, nous permet de communiquer partout dans le monde par texto ou par appel. Cet objet nous assure un confort d’utilisation et une bonne sécurité  car en cas de problème nous pouvons joindre quelqu’un à n’importe quel moment. 

 Partout 24h/24, les nouvelles technologies de l’information et de la communication nous permettent de rester reliés au monde. Cela permet aux gens de s’informer, d’apprendre tout sur n’importe quel domaine, de consommer, de revendiquer ou tout simplement de communiquer, de connaitre leurs droits et de se défendre, de casser leur isolement ou de surmonter leur ignorance, d’assouvir toutes leurs curiosités et d’avoir accès au monde entier.

 Quelques soient les domaines d’application comme l’éducation, l’administration, la santé ou encore la sécurité, les NTIC sont facteurs de progrès sociaux.

Cependant pour être facteur de progrès sociaux, encore faut-t-il que les nouvelles technologies de l’information et de la communication soient accessibles à tous sinon au plus grand nombre.

 

 

 

II. Les NTIC : facteurs d'inégalités sociales 

 

A. Des disparités au niveau social.

 

L’âge, l’appartenance sociale, les revenus, les niveaux de diplôme ont un impact sur l’accès au NTIC mais la plupart des ménages en possèdent.  

D’après les statistiques trouvées sur internet de David Frayon, nous pouvons constater que 62,6% des foyers ont accès à internet à domicile soit 16,9 millions de foyers et 93% de la population possède un téléphone mobile en France.

Mais cependant les disparités d’équipements en ordinateur sont fortes, elles varient surtout à cause des différences de revenu, de classe sociale et de diplôme : 79% des cadres supérieurs possèdent un ordinateur personnel contre 11% des non diplômés et 19% ne possédant que le SMIC (salaire minimum interprofessionnel de croissance). Pourtant les cadres supérieurs ne représentent que 6% de la population, ils disposent de 12% des revenus mensuels et détiennent 15% du parc informatique domestique. Les inégalités « numériques » sont donc encore plus grandes que les inégalités de revenus. Source : le fossé numérique de Michel Elie.

 Certains tentent quand même de combler cette fracture numérique dans des collectivités sociales, des villes etc.

La fracture la plus dure à combler sera le fossé inter génération car les personnes âgées n’ont pas connu et ne sont pas nés avec ces nouvelles technologies. Ils ont alors du mal à comprendre leurs fonctionnements. Et avec les plus de 20000 applications disponibles de nos jours comment s’y retrouver ?

Mais d’autres part  beaucoup de personnes âgées subissent un isolement social et leur revenus sont souvent très bas ce qui ne leur permet pas d’acheter tout le matériel nécessaire et les formations qui vont avec. Certes des organismes existent pour les aider mais beaucoup moins que pour les jeunes ce qui se comprend car les enjeux sociaux ne sont pas les mêmes.

Et puis d’après les statistiques, après 60ans environ 90% ne se connectent jamais.

 Cependant une autre fracture existe entre ville et campagne mais elle tend à se résoudre. Par ailleurs l’accès à internet et très haut débit se dessine comme une fracture. Alors que la 4G déjà sortit en Chine et qui s’imposera bientôt en France sur les grands centres urbains, de nombreux territoires s’interrogent alors sur le bon équipement adapté à leurs besoins de développement  et de services aux populations.

Dans un contexte d’économie budgétaire, si la question de la couverture du territoire ne peut plus se poser tant cela est aujourd’hui indispensable, la question du choix du bon équipement est très d’actualité.

 

Sur le plan numérique de la France, même si le territoire français est couvert à 95% en haut débit, 45% de la population ne se connecte jamais à internet. Cela nous montre que pour réduire la fracture numérique il faut s’intéresser à la réduction des fractures sociales, économiques et culturelles surtout dans les territoires sensibles.

 B. Les inégalités géographiques.


Si nous observons le monde, nous pouvons voir une réelle fracture entre le Nord et le Sud. Les continents développés du nord comme l’Europe,  l’Amérique du Nord, les NTIC sont massivement présents. Nous pouvons voir que dans le milieu professionnel dans ces pays tout est informatisé (comptabilité etc.)

Par contre dans les pays du tiers monde comme le continent africain, le moyen orient et l’Amérique latine, entre 3 et 0,5% de la population ont seulement accès à internet. Ce qui est fort peu.

Pour ces pauvres continents, quelques pays offrent la possibilité de se connecter à internet dans des cyberspaces pour quelques centimes d’euros de l’heure.

Cette fracture nord sud ne pourra de toute façon jamais se résorber si l’illettrisme est encore fort présent dans les pays et continents en difficultés.

Classement des pays en fonction de leur ouverture aux NTIC :

Les Pays les plus ouverts aux NTIC

Les Pays les moins- ouverts aux NTIC

1. USA

2. Singapour

3. Danemark

4. Islande

5. Finlande

6. Canada

7. Taiwan

8. Suède

9. Suisse

10. Royaume-Uni

< strong>1.Ethiopie  

2.Tchad 

3.Paraguay  

4.Nicaragua 

5.Guyane  

6.Bangladesh

7. Bolivie

8. Bénin

9. Equateur

10. Albanie

 

Les Nouvelles technologies de l’information et de la communication souvent représentés comme des gadgets ludiques pour les adolescents sont malgré tout des outils facteurs de nombreux progrès sociaux. Cependant certains points sont à améliorer : il faudrait les rendre accessibles à tous car elles peuvent engendrer des inégalités entre les générations et les différents groupes sociaux ainsi que la fracture mondiale nord sud.

On peut alors se poser la question : Jusqu’où le progrès nous emmènera t’il ?

 

 

 

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14 février 2010

L'emergence des TIC

 

L’émergence des NTIC au 21ème siècle



Lorsque nous parlons aujourd’hui des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication (NTIC), il est essentiellement question du rapprochement entre les télécommunications (téléphone, radio, télévision) et l’informatique. C’est cette jonction qui a donné naissance au World Wide Web, c’est-à-dire au réseau internet que l’on pourrait qualifier de NTIC la plus performante dans le sens ou elle réunit tous les supports multimédias en les mettant en réseaux. Comment en est-on arrivé là ?

 



I/ Les débuts des NTIC.


Les technologies de l’information et de la communication, même si on ne les a pas toujours appelées ainsi, ont une très longue histoire derrière elles. Il semblerait logique, en guise de préambule, de commencer par l’invention de l’écriture en Mésopotamie, 3300 ans avant JC qui s’est développée concrètement au moyen d’argile humide et de roseaux taillés ou encore d’aborder la xylographie, ou gravure sur bois, qui était pratiquée avant l’invention de l’imprimerie. Toutefois, devant la masse d’informations que nécessiterait une telle énumération de techniques et de découvertes, allant de l’alphabet à l’invention du papier, nous nous contenterons d’évoquer les principales étapes qui ont marqué cette histoire. 

En faisant un bond dans l’espace et le temps, nous arrivons en Europe en 1468 avec l’invention de Gutenberg, c’est-à-dire la typographie et la presse à imprimer, qui a permis largement à la diffusion d’informations.

En 1793, Claude Chappe met en place un système de communication optique et mécanique appelé « sémaphore ». Conçu sous forme de tourelles de pierre se transmettant des signaux à l’aide de bras mécaniques, ce système est le premier réseau de télécommunications d’envergure nationale composé en 1844 de 534 tours. Il faudra attendre1832 pour voir apparaître le télégraphe électrique. 

En 1801, Joseph-Marie Jacquard invente un métier à tisser automatisé dit « métier Jacquard » qui fonctionne grâce à un système de cartes perforées. Cette invention marque l’avènement de l’automatisation qui préfigure la mécanographie, c’est-à-dire l’ensemble des techniques mécaniques qui permettent le traitement, le calcul et la publication d’informations : l’ancêtre de l’ordinateur en quelque sorte. 

Alexander Graham Bell invente le téléphone en 1876 et Thomas Edison invente le phonographe en 1877. Les sons peuvent désormais être enregistrés et retransmis. 

En 1895, grâce aux frères lumière, c’est au tour des images en mouvement à être immortalisé par l’invention du projecteur de film.

Ensuite, l’histoire s’accélère et une série de découvertes scientifiques vont se compléter pour donner naissance à des technologies de la communication de plus en plus performante qui réduisent à chaque fois la distance entre les hommes. En 1920 les premières émissions de radios commerciales sont diffusées. 

En 1935 c’est au tour de la machine à écrire électrique d’être commercialisée et en 1933 c’est   Londres, qui retransmet les premières émissions télévisées. 


En 
1943, grâce à Alan Thuring le premier ordinateur, à l’origine conçu pour percer les codes allemands durant la seconde guerre mondiale, voit le jour. Von Neumann va développer le concept de mémoire pour l’ordinateur en1948. En 1969, Le département de défense des Etats-Unis d’Amérique crée le réseau Arpanet et permet à deux ordinateurs de communiquer à distance. Il s’agit de l’ancêtre d’internet. 

Le premier E-Mail est envoyé en 1972 par Ray Thomlinson. L’ordinateur individuel, le PC (personal computer) est présenté en1974.

Le magnétoscope est disponible pour les ménages dès 1975.

En 1981, le réseau postal français met en place le minitel, connectant ainsi des milliers d’individus entre eux. C’est l’avènement de la vente par correspondance électronique ainsi que des sites de rencontres.

 

site_internet

Les années 90 marquent l’avènement de l’internet et du World Wide Web, deux systèmes complémentaires qui sont souvent confondus. C’est la convergence des technologies de l’audiovisuel, des télécommunications et de l’informatique qui a permis cette révolution. Un exemple concret d’application? Voyez ce médecin américain qui a opéré depuis New York un patient hospitalisé à Paris grâce à un robot chirurgical connecté sur le réseau Internet. Pour l’anecdote, en 2008, l’archipel Tristan da Cunha, perdu au milieu du Pacifique, a été relié par satellite avec un centre médical d’urgence situé aux Etats-Unis. Cette particularité lui, permet, malgré la distance et l’isolement, de permettre l’accès aux soins de santé à tous ses habitants.

 

 

 

Frise récapitulative , si vous avez oublié quelque chose : 

Frise

 

 

II/ Les composants de l‘Internet.


L’internet est en fait l’appellation du réseau informatique qui relie des millions d’ordinateurs et leur permet de communiquer entre eux grâce à un système universel de transmission de données (appelé le protocole TCP/IP). Ce réseau, qu’on appelle « La Toile » ou « Web » en anglais a de nombreuses applications. La plus connue étant le World Wide Web, qui représente la partie la plus visible de l’internet puisqu’elle permet la visualisation de milliards de pages reliées entre elles par des liens hypertextes. La grande majorité des états, des entreprises, des associations ont leur page sur le web. Pour parler du réseau et de toutes ses applications, on parle désormais d’ « Internet », avec une majuscule. 


La logique d’émission de la plupart des médias fait place avec Internet à une logique d’interactivité. C’est « l’apparition du média personnel par opposition au média de masse ».

Depuis 2004, on parle du Web 2.0, c’est-à-dire depuis l’apparition de nouvelles applications sur l’internet qui vont contribuer à modifier nos sociétés en profondeur. A présent, de plus en plus d’internautes, grâce à la généralisation des Blogs et des Wiki vont contribuer à l’élaboration du web, renforçant l’interactivité de celle-ci. 

Les Blogs sont des pages personnelles que tout particulier peut mettre en place sans connaissances approfondies de l’informatique. Les Blogs constituent une masse d’informations libres constituées de textes et de médias audiovisuels qui peuvent être consultés mais également commentés. Ils sont reliés entre eux par ce qu’on appelle des « rétro-liens » et cet ensemble constitue la Blogosphère, un espace virtuel gigantesque où l’interactivité est la règle. Toutefois, les Blogs ne peuvent être modifiés que par les personnes autorisées. En 2007, on dénombrait 100 millions de Blogs sur la Toile.

 Les Wiki quant à eux ont poussé la logique de l’interaction encore plus loin puisque si à l’instar des Blogs le contenu est librement consultable et permet les commentaires, il peut en outre être modifié par n’importe qui. L’exemple de l’encyclopédie électronique « Wikipédia » en est la plus célèbre illustration. 


En quatre ans, la proportion de jeunes
Français de 16 ans surfant chaque jour sur le Web est passée de 23 à 57 % en  2007, selon les résultats de l'enquête Espad 2007.

 


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Internet participe dès lors à la démocratisation de l’information. La communication se fait désormais par entrées multiples. 

Consulter la presse sur internet dépasse la simple lecture d’une dépêche. Ce sont de véritables forums de discussion accessible à tous qui s’organisent autour de chaque nouvelles.

De plus, des applications comme le flux RSS (Rich Site Summary), c’est-à-dire un système d’alerte qui va prévenir l’internaute lorsqu’une nouvelle est jugée intéressante selon des critères prédéfinis, facilite le voyage à travers des milliards de pages et augmente la performance de l’outil virtuel. On parle dès lors de média intelligent.

 

La somme de ces applications a permis la constitution de multiples réseautages sociaux en facilitant le rapprochement de personnes ayant des convergences d’idées ou de buts. Ce réseautage social, communément appelé « Folksonomie» est présent partout sur la Toile. Ces sites, véritables cartes d’identité, dépassent l’individu isolé en mettant en avant son réseau social. Le principe est de s’entourer de ses amis, virtuels ou non, et d’échanger avec eux en toute transparence sous le regard de millions d’internautes. Ce système est directement issu de toutes les applications précédentes. 

Des sites internet comme Facebook (créé par Mark Zuckerberg), où encore Twitter (présidé par Jack Dorsey) ont des implications directes dans la stratégie de vente de certaines entreprises, servent d’outil pour les chasseurs de têtes en quête de profils spécifiques ou interviennent même dans l’organisation de rassemblement civils, comme par exemple la manifestation à Bogota de février 2008 et qui a rassemblé plus de 3 millions de personnes dans tous le pays. 


Facebook est donc un réseau social créé par Mark Zuckerberg et destiné à rassembler des personnes proches ou inconnues. (Depuis décembre 2009, il rassemble plus de 400 millions de membres à travers la planète, dont 15 millions en France. Il est le 2ème site le plus visité au monde.

 

 

Twitter est un outil de réseau social qui permet à l’utilisateur d’envoyer gratuitement des messages bref s, appelés tweets (« gazouillis »), par Internet, par messagerie instantanée ou par SMS. Ce site est particulièrement utilisé par les personnes célèbres pour donner des nouvelles à leurs fans.

 

twitter




En conclusion, nous pouvons donc voir que les NTIC sont maintenant présent dans notre société, et ne cesse de se développer. Les connexions et les sites crées sur internet sont en constante augmentations 


 

 

12 février 2010

Bienvenue sur ce ce blog !

 

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Dans le cadre des TPE (travaux pratiques encadrés) nous avons choisi de vous présenter un sujet sur le thème des Nouvelles Technologies de l’Information et de la Communication. En effet les NTIC regroupent l’ensemble des moyens de transmission et de traitement de l’information via principalement les télécommunications, l’informatique et l’internet. Nous vivons entourés de ces moyens. Qui aujourd’hui, n’a pas de portable, ne possède pas d’ordinateur ou bien n’a pas Internet ? Quel adolescent ne s’est pas inscrit sur Facebook ou bien ne possède pas d’adresse MSN ? Autant d’exemples qui ne font que renforcer l’idée d’omniprésence des NTIC, d’autant plus pour notre génération née avec  l’essor de ces technologies.

 Nous avons tenté de répondre à la question «  Dans cette société contemporaine, quelle est l’influence des nouvelles technologies de l’information et de la communication sur société ? »

Pour y répondre nous avons d’abord cherché à expliquer comment nous en sommes arrivés à cette présence majeure des NTIC avec l’émergence des NTIC. Nous nous sommes ensuite attardés sur plusieurs aspects de cette influence. D’abord l’influence des NTIC sur la consommation, pour arriver à leur rôle dans l’économie et terminer par la place de celles-ci dans l’entreprise.

 

 

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